Une journée dans la vie d’un préparateur de commandes

Dave (40 ans) s’était à peine inscrit chez ASAP qu’il recevait déjà un message sur son GSM. « Nous vous invitons à venir passer un entretien et quelques tests. Signé : ASAP. » Quelques jours plus tard, Dave commençait chez Fiege, l’un des plus grands prestataires de services logistiques d’Europe. Après avoir travaillé comme préparateur de commandes, il décroche son brevet de cariste. Mais à quoi ses journées de travail ressemblent-elles ? Dave vous l’explique de bon cœur.

En quoi consiste le job d’un préparateur de commandes ?

Le réveil sonne. Il est encore tôt, mais mon ancien job à la Poste m’a habitué à ce genre d’horaires. Cette semaine, je pars à 5 heures pour faire le shift du matin. C’est ma semaine préférée. Je préfère faire le shift du matin, surtout en été. Parce qu’il fait beau et que j’ai mes après-midi pour moi.

Que me réserve mon planning aujourd’hui ? Notre chef d’équipe distribue les tâches. Décharger les camions, recevoir des colis, travailler au chariot élévateur : je les fais toutes volontiers et je peux travailler à n’importe quel poste. Il n’y a donc jamais deux journées les mêmes !

À table ! Pendant la pause de la matinée, je prends le temps de sortir un peu. C’est agréable de prendre l’air aux tables de pique-nique. À midi, en revanche, je monte toujours au réfectoire retrouver mes collègues. On y sert chaque jour de la très bonne soupe (gratuite) et il y a du café, du thé et des boissons fraîches à notre disposition. Après deux bols de soupe, mes batteries sont complètement rechargées ! Et heureusement, parce que l’après-midi, on décharge les camions. Parfois manuellement, caisse par caisse, mais je préfère utiliser le BT (transpalette électrique).

Le lundi et le vendredi, on travaille toujours un quart d’heure en plus. Les autres jours, notre shift se termine à 13 h 45. Ce qui me laisse tout l’après-midi pour vaquer à mes occupations à la maison : manger un petit bout, me délasser dans le fauteuil, faire les courses, travailler au jardin, regarder une série puis préparer le repas, généralement pour deux jours. Ça m’évitera de devoir passer du temps en cuisine demain.

Au lit ! Les semaines du shift du matin, j’essaie d’aller au lit à 22 h. Je n’y arrive pas toujours, mais heureusement, je n’ai pas besoin d’énormément de sommeil. Me lever tôt ne me pose pas de problème. Et c’est tous les jours un plaisir de me lever pour mon job chez Fiege !

Décharger les camions, recevoir des colis, travailler au chariot élévateur : toutes des tâches que je fais volontiers et je peux travailler à n’importe quel poste. Il n’y a donc jamais deux journées les mêmes !

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